Pardon, Charles Baudelaire
Je reconnais que pendant mes études,( ça remonte à de nombreuses années , pas au déluge, mais presque ! ) je l'ai boudé , ce Charles Baudelaire .
Je me moquais de ses vers que d'autres admiraient ( "Sois sage, ô ma douleur et tiens toi plus tranquille ") J'avais une telle passion pour Apollinaire ! Aujourd'hui, je suis plus sage, et je le relis et je me souviens de ces vers :
Mais j'aime toujours mon Guillaume Apollinaris de Kostrovtski !! i J'ai eu l'occasion de dire que sa description de la guerre était outrée ! Mais pour moi il reste "le "poète !
"Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire "
Beaucoup de mes meilleurs amis sont des poètes, je les aime et je les admire ! Mais n'est pas poète qui veut ! J ne me hasarderai pas à écrire de la poésie. Je suis capable de mettre bout à bout des mots, mais je n'ai pas le talent du poète ! Alors je me contente de sa parente pauvre, la prose !
Je me moquais de ses vers que d'autres admiraient ( "Sois sage, ô ma douleur et tiens toi plus tranquille ") J'avais une telle passion pour Apollinaire ! Aujourd'hui, je suis plus sage, et je le relis et je me souviens de ces vers :
- Qui aimes-tu, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère ? | |
- Je n'ai ni père, ni mère, ni frère, ni soeur. | |
- Tes amis ? | |
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. | |
- Ta patrie ? | |
- J'ignore sous quelle latitue elle est située. | |
- La beauté ? | |
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. | |
- L'or ? | |
- Je le hais autant vous haïssez Dieu. | |
- Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étran- ger ? | |
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là bas... là bas.... les merveilleux nuages |
"Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire "
Beaucoup de mes meilleurs amis sont des poètes, je les aime et je les admire ! Mais n'est pas poète qui veut ! J ne me hasarderai pas à écrire de la poésie. Je suis capable de mettre bout à bout des mots, mais je n'ai pas le talent du poète ! Alors je me contente de sa parente pauvre, la prose !